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Fiche de présentation de l'Ancien Enfant de Troupe ...
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| Matricule de l'A.E.T |
47 |
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| Nom de la Promotion |
SERGENT MALAMINE |
| Nom(s) |
MOUZABAKANI |
| Prénom(s) |
Felix |
| Surnom de l'A.E.T |
Ancien FELIX |
| Date de Naissance |
Mars-34 |
| Fonction, Titre ou Métier |
OFFICIER ET HOMME POLITIQUE CONGOLAIS |
| Adresse Géographique |
Brazzaville |
| Ville de Résidence |
BRAZZAVILLE |
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| Pays de Résidence |
REPUBLIQUE DU CONGO |
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| Telephone |
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| Email |
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| Breve description biographique de l'A.E.T ... |
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Il est certainement le plus ancien AET Congolais encore vivant en 2020 lorsque nous mettons cette page à jour...
INSTRUCTIONS : école militaire préparatoire général LECLERC à BRAZZAVILLE ;
Ecole de formation des officiers d’outre mer en 1959 ;
Stage à l’école d’état major en France 1963 CEP et BEPC ;
VIE PROFESSIONNELLE :- entré dans l’armée française en 1952;
-sous officier de l’armée française ( participation aux opérations d’ALGERIE et de SUEZ )
-intégré dans l’armée Congolaise comme sous officier en 1962 et lieutenant la même année ; capitaine en janvier 1963 et chef de bataillon ;
-chef d’état major de l’armée congolaise ;
-attaché militaire à PEKIN CHINE en 1965 ;
-destitué en octobre 1966.
VIE POLITIQUE :
-Voyage à PEKIN CHINE 1964 ;
-Impliqué dans l’évasion de l’abbé FULBERT YOULOU, condamné à mort le 25 juin 1966 ; peine commuée à 25 ans de travaux forcés en aout 1967 ; incarcéré à la maison d’arrêt de BRAZZAVILLE ; libéré par l’armée le 02 aout 1968 à la demande du capitaine MARIEN NGOUABI,
-Ministre de l’intérieur le 05 aout 1968
NB/ Fiche établie en octobre 1968.
NB : c’est au capitaine félix MOUZABAKANI , raconte la commune renommée , que le Président YOULOU avait remis le texte de sa démission, le 15 aout 1963 à 12h30. A ce moment là, connaissait-il la constitution ? La notion de vacance de pouvoirs ? était-il trop jeune ( 29 ans) ?
Doit –on croire à KANT quant-il affirme : « les rois comme leurs ministres sont comme des cocus et leurs femmes car, ils ne savent jamais ce qui se passe et que, l’on mesure l’intelligence d’un individu par la quantité des incertitudes qu’il est capable de supporter » ?
Comment expliquer que le texte de la démission de l’abbé YOULOU, remis au capitaine MOUZABAKANI, se retrouva entre les mains de son second , le capitaine MOUNTSAKA, se précipitant d’aller chercher son mentor MASSAMBA –DEBAT, barrant la route au juriste truculent MATSOCOTA, pourtant coopté par les partisans de l’abbé , aux cris de « lazarre, lazarre, lazarre », comme le successeur de l’abbé YOULOU ?
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